-10%
Notre dernière bouteille
« Un si beau vignoble voisin de Lafite Rothschild, l’opportunité de le faire renaître était trop belle » - Baron Eric de Rothschild
Un peu plus de merlot (38 %) et un peu moins de cabernet-sauvignon (62 %) pour Duhart-Milon dans ce millésime compliqué et hétérogène que fut 2012. Il en résulte un pauillac rouge profond, au nez encore assez fermé à l'heure de la dégustation, richement boisé, tendance épices et torréfaction, les petits fruits noirs perçant doucement à l'aération. En bouche, le vin se révèle dense, étoffé et puissant en attaque, porté par des tanins bien serrés, puis apparaissent le fruit et la rondeur à mi-parcours, qui font place à une fraîcheur tonique en finale. Un beau classique sans exubérance, encore assez austère, au solide potentiel de garde.
This property has enjoyed the considerable investments from the Rothschild family and the quality of the wines over the last generation has been increasingly impressive. I’ve always written that if you can’t afford Lafite Rothschild, why not try Duhart Milon, which is not far off the quality of its much more famous neighbor. Spicy, deep ruby/purple with notes of cassis, cedar wood and spice box, the wine is soft, round, juicy, medium-bodied and ideal for drinking now and over the next 15 or so years. It is not one of their finest efforts, but it is certainly well-made, supple-textured and seductive.
Informations techniques
17.5 Decanter
91 James Suckling
89 Parker
89 Quarin
17 René Gabriel
16.5 RVF
90 Vinous
90 Wine Spectator
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